Kanu Unchu | The end.. ♥ /PrettyNeko

Nom: Akizuki Ashido
Surnoms: Shishi ou parfois Aki

Âge: 25 ans
Sexe: Masculin
Sexualité: Bi

Profession: Chef de sa propre entreprise et couturier..

Appart ou maison?: Maison

Origines:
Sa famille est une famille Anglaise qui s'est expatriée en Roumanie lorsque que l'Angleterre était à feu et à sang, au Moyen Âge. Mais Akizuki est né en Allemagne, sa mère le voulant plus Allemand que Roumain.

Nationalité: Allemand

Physique:
Ashido est un jeune homme aux longs et soyeux cheveux noir. Il les entretient avec soin, il y tient encore plus que sa propre vie. Ses yeux sont d'un sombre magnifique, un sombre souvent parcouru par une forte lueur de folie. Il est assez grand, avec son bon mètre 98, une taille dont il est fier. Il est aussi très mince, il entretient son corps avec amour. Il aime avoir une bonne image de lui avec sa peau clair et satinée. Sa peau semblable à de la soie, si douce et sans impureté. Il adore entretenir son corps avec ses produits de beauté qu'il garde dans sa salle de bain, son sanctuaire où l'accès est interdit aux autres personnes, sous peine de sanction.
Certains disent que Ashido a des goûts vestimentaires douteux. Il porte toute sorte de vêtements allant du costard à la robe gothique pour homme, du moment qu'il y ait du noir ou du bleu foncé. Même s'il met un truc douteux, il s'arrange pour avoir une classe folle et il met toujours en valeur son corps, si bien que peu de personne osent se moquer de lui.
Ashido est donc ce qu'on pourrait appeler un drôle de personnage avec ses manière aristocratiques et sa manière de s'habiller vraiment étrange.

Caractère:
Ashido est un jeune homme étrange, il peut être calme et sur-excité à deux moments proches. Il est d'une gentillesse et d'une amabilité apparemment à toute épreuve. Il est très serviable et intelligent, il a une créativité énorme, ayant toujours une idée pour une futur création. Il a beaucoup de culture, il l'étale assez souvent, adorant se vanter. Il est aussi bien élevé et fait la fierté de ses parents. Il sait écouter les gens, les conseillant assez souvent, il a une certaine sagesse et il est assez franc, il n'aime pas faire souffrir les gens mais il ment que rarement. Il a une bonne estime des gens, traitant les Nékos comme des trésors.
Mais parallèlement à ce caractère presque parfait s'élève une ombre au tableau de noblesse, depuis qu'il est enfant, Naveen est fou. Un évènement terrible s'est produit, lui enlevant sa raison. Il peut faire des crises de démence, devenant violent et sadique. Dans ses crises, qui peuvent durer de trois minutes à plusieurs jours, il peu faire diverses choses allant de la crise d'autisme à la pure démence. Il peut être vaniteux et le plus sale type qui puisse exister. Il peut être capable de passion la plus dévastatrice pour ses Nekos, qu'il peut frapper sans raison lors de ses crises. Il devient assez souvent méchant mais quand il revient à lui et qu'il voit l'étendu de ses dégâts, il s'en veut souvent au point de s'enfermer dans sa chambre pour en ressortir un peu plus tard pour s'excuser auprès des personnes qu'il a blessé. Il s'en veut assez souvent au point de s'auto-mutiler, allant jusqu'à s'évanouir. Ashido a besoin d'amour et peut être qu'un peu d'aide lui serai bénéfique, qui sait...

Famille:
Sa famille n'est pas ce qu'il y a de plus étrange, il est fils unique et son père est le dirigeant d'une entreprise de production de produit de beauté, dont le fils est le premier acheteur. Sa mère ne travaille pas, elle n'en a pas envie et n'en ai pas le besoin. Il aime la vie et elle vit avec son mari une vie de passion. Elle teste beaucoup les produits de son mari.


Ce qu'il aime: Il aime les Nékos, le chocolat, les ténèbres, l'eau et d'autre chose qui ne me viennent pas à l'esprit

Ce qu'il n'aime pas: Il n'aime pas la violence, ce qu'on pense des Nékos, l'injustice, le viol qu'il combat depuis ce qu'on lui a fait et le soleil.

Ce qu'il craint le plus: Il craint que l'on découvre son vrai visage, cela le terrifie au plus profond de lui même.

Histoire:
Ashido est né il y a 25 ans à Berlin. Ses parents étaient riches, étant de deux familles richissimes de Roumanie. Sa mère était une blonde magnifique aux yeux jaunes. Elle était assez grande et d'une beauté à couper le souffle. C'est d'elle que Ashido tient sa classe. Elle ne travaillait pas, elle n'en avait pas besoin. Son père par contre, était un riche chef d'entreprise qui créait des produit de beauté, dont son fils est le premier acheteur. Il avait de beaux cheveux noirs naturels et des yeux d'un noir d'ébène des plus beaux. Il avait une certaine classe mais pas autant que sa femme qu'on surnommait la beauté de porcelaine dans son milieu. Ils sont fiers de ce qu'est devenu leur fils même si ses crises les inquiètent.

Ils se sont rencontrés lors d'une soirée mondaine à Vienne, où la famille Akizuki fut conviée par le dirigeant du pays. Elle était la fille d'un riche marchant Roumain. Plusieurs jeunes hommes la convoitaient mais quand elle vit ce jeune aux cheveux blanc, elle tomba sous le charme et ce fut comme dans une conte de fée, ils se marièrent deux ans plus tard et furent les plus heureux mariés du monde quand une jeune garçon naquit quatre ans plus tard. Ils en furent vraiment content et ils trouvèrent un nom génial pour ce petit bout de chou, il allait s'appeler Ashido. Les premières années furent les plus merveilleuses, il était un enfant vraiment étonnant. Tout le monde l'aimait, peut être un peu trop mais étrangement, il ne devint jamais un enfant trop gâté, il eut rapidement une éducation pas sévère mais quand même avec des valeurs sures. Mais un évènement vint bouleversé la famille, à l'âge de 5 ans, Ashido fut enlevé à la sortie de l'école. Sa mère fut la première au courant et elle alla tout de suite prévenir son mari, la police fut mise au courant et les recherches commencèrent. Plus le temps passait et plus les recherches devenaient vaine. La mère ne pouvait croire qu'on ne pouvait retrouver son fils vivant. Elle y croyait et avec son mari, ils obligèrent les policiers à chercher encore plus. Ce fut une bonne initiative car 1 mois après l'enlèvement, l'enfant fut retrouvé dans une maison en ruine. Son kidnappeur fut mis en prison et la famille voulut qu'un examen soit fait sur l'enfant qui n'avait plus aucune réaction. Il n'avait rien dit quand sa mère l'avait pris dans ses bras en pleurant de joie de le revoir. Son mutisme indiquait que quelque chose s'était passé et il s'avéra que l'enfant avait été violé assez souvent pendant le mois de détention. Le ravisseur était en fait un déséquilibré qui voulait se faire un gosse de riche.

L'enfant fut suivit par un psychiatre et il s'avéra rapidement que cette expérience avait créé dans l'esprit de l'enfant une sorte de démence. Il paniquait pour un rien et il entrait dans des crises de folies pures, criant et hurlant de peur pour rien. Il y avait des fois où cela allait loin et où il fallait l'enfermer dans sa chambre pour éviter qu'il ne frappe tout le monde. Cela dévasta la mère qui déprima un long moment. Le père ne savait que faire et il se renseigna sur ce qu'il fallait faire. On lui proposa quelque chose qui l'horrifia autant que ce que ça l'intéressa. Il alla en parler à sa femme.

"Dans un asile?!"

Elle ne semblait pas comprendre et son mari lui expliqua que c'était sans doute la meilleur chose à faire. Ashido avait alors 10 ans. On l'y conduisit et il y rencontra un des médecins qui lui expliqua qu'ils allait juste lui administrer un traitement pour ses crises. Il accepta cela avec un air rassuré, on allait enfin l'aider à se débarrasser de ses démons. Mais ce fut pire. Il fallut le mettre dans un espace protéger et il fut obligé de porter une camisole, pour éviter qu'il se fasse du mal. Le pauvre enfant enchaîna les crises et on ne put rien pour lui. Les parents en furent anéantis, surtout parce qu'il ne pouvait avoir d'autre enfant, la mère avait eu un problème et était devenue stérile.

Mais au bout de 10 ans d'enfermement, il fut comme guéri du jour au lendemain, redevenant un homme comme les autres. Il avait 20 ans. Il apprit le métier de couturier pendant 2 ans et se mit à son compte, ce fut un réel succès et tout le monde aimait ce qu'il faisait. Ses parents apprirent trop tard que ses crises étaient loin d'être finies, il avait fait semblant d'être normal pour sortir de cet enfer. Mais il semblait se maîtriser alors on le laissa faire ce qu'il voulait. Le beau jeune homme arriva en ville et voulu s'acheter un ou une Néko, pour qu'il ou elle soit son modèle mais la passion dévorante qu'il éprouve pour ces créatures est telle qu'il a bien du mal à ne pas se laisser emporter par sa créativité. Le blondi aux cheveux corbeau vous paraîtra normal mais méfiez vous des apparences, cela pourrait vous être fatal, surtout si la folie a prit les traits d'un jeune à la beauté époustouflante.





[*]Que pensez-vous du graphique du forum? J'ai pas encore testé..

[*] Où avez vous connu le forum ? Tu me connais assez que pour le savoir..

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¤ Nom : Alors que les noms étaient souvent le reflet du métier que l'on exerçait ou de l'endroit d'où nos ancêtres vivaient, celui de la famille de Staedtler à toute autre signification: D'après une légende, l'un de ces ancêtre, guerrier de surcroix, était un homme dont les démons étaient plus que fascination, celui-ci les admirait mais seul les démons dont la mort et la puissance étaient humblement liées l'intéressaient réellement. Nombreuse fois, il remit ses victoires à ces "divinités des enfers" et tout particulièrement à ZAEBOS, comte des Enfers au visage d'un beau soldat monté sur un crocodile. Celui-ci, après avoir pu observer un dévouement sans faille de l'homme, lui remit en guise de cadeau le droit de porter l'un des noms que le démon employait lorsqu'il était d'apparence humaine. C'est ainsi que le guerrier et les siens devenaient les Guerrini. Ce qui, pour eux, était le plus grand honneur que l'on pouvait offrir dans ce monde.

¤ Prénom : Elle est connue sous le nom de Steatdler. Son véritable nom, Cynd' n’est connu que de deux personnes dont elle-même.
¤ Âge : Véritable âge tenu top secret. En apparence : 20 ans. Mais la route de sa vie est encore loin d'être terminée..
¤ Sexe : féminin
¤ Orio' : Bi


¤ Description physique :


La symphonie du clavier est enclenchée, parée à dresser le portrait de mon foutu personnage ! Commençons par le commencement : un bref aperçu de Staedtler. Pour cela, vous pouvez dès à présent, chers lecteurs, jeter un coup d'œil à mon avatar " fait maison " pour avoir une petite idée physiologique de l'énergumène concernée. D'autres illustrations viendront, maintenant que les traits de cette pseudo-terreur s'esquissent dans ma tête avec plus de précision. Le jury va donc devoir s'armer de patience...Préambule achevé, voici sa description physique !

La première chose qui nous frappe quand on rencontre Staedtler, est sans doute sa grandeur. Pour une femme, la jouvencelle mesure un mètre soixante-dix. Elle est également quelqu’un d’assez simple qui ne porte pas énormément d’importance à son apparence physique. Mine de rien, elle n’en reste pas moins jolie. De la tête aux pieds, Staedtler est de taille normale. Elle arbore une chevelure longue piquant ses omoplates tout juste. Quelques mèches vont plus loin, tombant devant et derrière, mais sinon, le reste est dégradé. Ses yeux sont d’un brun lumineux. Le brun de ses yeux rappel étrangement une topaze sous une lumière éclatante, selon certains, et malgré qu’elle ai beaucoup souffert, ce regard exprime une compassion et une douceur enfouit en la demoiselle. Ses yeux, oui, d'un léger brun topaze son sans doute la partie la plus personnifiée de Staedtler au niveau de son physique. C'est aussi le principal facteur de représentation de ses sentiments. Car oui, Staedtler est une femme qui peut cacher la plupart de ses émotions, ses yeux étant les seules parties de son physique à pouvoir clairement les représenter physiquement. Au delà de ça, son humeur du moment, son état, est tout aussi discernable de la même façon, aussi bien dans ses moments de colère, de tristesse ou de joie. Mais l'aspect unique de ses yeux ne s'arrête pas là, puisque la femme est parfois atteinte de somnambulisme.
A ce moment là, ses yeux sont ouverts, et à la place du topaze pourtant beau, ses yeux se teintes d'un voile viridien, cachant par ailleurs toute la "vie" de l'œil. Dans cet état, ses pupilles donnent l'impression d'être vides, si ce n'est, quelques fois, le reflet de la lune à travers les mailles du voile viridien. La couleur topaze de ses yeux ressort particulièrement bien, au vu de celle de ses cheveux. En effet, jouant sur un effet de contraste, on s'aperçoit bien vite que le topaze attire bien plus le regard que la couleur de ses cheveux. Sous ses mèches rebelles, un centimètre au dessus de ses yeux cités précédemment, se situent deux sourcils, dont les poils sont d'une couleur plus sombre, proche d'un marron. Ils sont semblables à la plupart des autres sourcils, si ce n'est leur largeur. En effet, même s'ils sont d'une taille restant très largement dans la moyenne, ils sont très fins. Dans sa jeunesse, ils étaient quasi imperceptibles, si ce n'est quasi inexistant. Ils sont apparus au fil de l'age, leur couleur sombre également. Mais l'on descend encore un petit peu nous nous trouvons face à face avec son nez. Bien que petit, il a la petite particularité d'avoir l'extrémité onde, bien que peu voyante. Elle n'a guère le design d'un nez ordinaire de personnage de manga, le plus souvent fins et droits. Encore un peu au dessous, sa bouche, à la fois petite et fine a le pouvoir de n'être utilisée que lorsqu'il le faut ou lors des moments de détente. Dérivons un peu maintenant sur les côtés de son visage, ses joues plus particulièrement. Même si peu de masse graisseuse est présente sur le corps de la demoiselle, ses pommettes et ses joues ont une forme finement ronde. Son cou, quand à lui, est entouré d’un collier de cuir rappelant une lanière. Ce collier est complètement plaquer contre son cou, il n’est point suspendu comme le serait une simple chaîne. Une boucle, rappelant celle des ceintures, décore ce collier, en même temps qu’une chaîne argenté qui y est attaché.

Outre cela, Staedtler est habillé à sa propre mode. Oubliez les uniformes d’étudiants ou que sais je encore. Elle les envoie se faire voir comme toutes les autres « obligations ». Elle s’habille à sa propre façon, se remarquant très bien de la foule semblables de par leurs uniformes. Staedtler porte en permanence une veste noir, dont la longueur environne les hanches dont on se demande quelques fois si elle est vraiment de cuir car malgré son épaisseur, cette veste est d'une souplesse incomparable certainement dû au traitement infligé par sa propriétaire. Sur le dos de celle-ci, nous pouvons aisément y lire le nombre "02" mais elle la laisse tout le temps ouvert, laissant apparaître en dessous un T-shirt, généralement de couleur sombre. En descendant quelque peu, nous pouvons constater que la demoiselle porte une double ceinture clouté; celle-ci est d'une couleur cramoisie pouvant être connotée avec celle du sang mainte fois versé. Aussi, elle porte généralement un pantalon de toile noire qui lui permet une grande amplitude de mouvements. Habituée au corps à corps, elle a un sens de l’équilibre inouï et elle emploie moultes feintes et acrobaties pour atteindre son ennemi ou éviter ses coups. Son arcade gauche est percée pour pouvoir y accrocher un petit piercing en argent. Autour de son cou pend un anneau en argent auquel est relié un pendentif en forme de crâne de ruminants en argent lui aussi. Elle les porte absolument tout le temps, même quand elle dort, ou se lave ou est en pleine activité. Bref, Staedtler est une rebelle vestimentairement parlant et est très attirante et beaucoup sont déjà tombés dans ses filets.


¤ Description mentale :


Même si, à l'époque où nous vivons actuellement, la personnalité d'un individu est étroitement liée à ses goûts vestimentaires, il est parfois malhabile de conclure son jugement à ce que ses yeux nous montrent. Je m'appuie bien sur le " parfois ", car ici, les préjugés de la populace sont fondées...Accordez-vous donc le droit d'établir un diagnostic sans creuser plus loin que la coupe de cheveux de cette pignouf ! Staedtler n'est qu'une grossière caricature. Je crois l'avoir démontré à l'aide de subtilités dans la précédente description.

Il y a bien plus que l’apparence et la puissance. Sous l’eau de l’éternel océan peut se camoufler une huitre où se trame une perle rare qui ne sera jamais découverte. Probablement est-ce le cas de plusieurs personnes qui n’osent pas fouiller cet océan avec la crainte d’y trouver quelque chose de malsain. Au creux d’un regard de sang où se mêle des mèches de ténèbres, une lueur enfouie très loin se trame et ne cherche point à éclairer le reste de cette petite personne qui n’a jamais tendu les bras vers la luminosité pour la simple et bonne raison qu’elle ne ressent pas le sentiment d’y trouver sa place un jour. Dans une forêt de cèdres séchés et de chênes prenant de l’âge, au creux de ces ténèbres remplit d’ombres et de créatures mythiques que nos cauchemars n’osent imaginer, un cœur est caché et continue de compter jusqu’à cent, attendant qu’on vienne le chercher, refaisant encore et encore le décompte. Il est certes difficile d’aller le trouver puisqu’il semble être un expert dans le jeu typique de cache-cache. Il faut donc également être un expert dans la recherche pour oser pénétrer cette forêt remplit d’histoires et de tristesses, de confusions et de ténèbres. Staedtler n’est pas une personne qui laisse paraitre très aisément ses émotions. Solitaire, elle est capable de supporter des individus autour d’elle sans problème, toutefois dans ces cas-ci, elle garde très souvent le silence. Elle aime bien être discrète. Staedtler est de nature plutôt silencieuse dans ce cas-ci et secrète, on pourrait lui révéler nos plus grands pêchers, jamais elle ne les révèlerait, sous plusieurs conditions. Attention, Staedtler est une personne compliquée et difficile à cernée. Si on lui pose une question, elle répondra si elle trouve que cela en vaux la peine. Elle est certes patiente, voire même personne ne pourrait être aussi patiente qu’elle, mais il n’est pas très facile de la faire parler cependant, il faut savoir quoi lui dire, quels mots employés, quelle question poser. Il faut être logique également et ne jamais l’insulter. Staedtler n’agira pas si vous l’insultez. Néanmoins, elle canalise souvent ses frustrations pour les déferler un peu plus tard, et lorsque cela arrive, il vaut mieux ne pas se trouver dans sa route.

Confiante, Staedtler n’accepte aucune erreur. Elle tâche toujours de faire du mieux qu’elle peut et ne doute jamais d’elle, ou presque. Personne n’est parfait après tout mais la moindre erreur de sa part créer une frustration en elle qu’elle canalise et fini par oublier après un temps. La jouvencelle est très perfectionniste et cherche très souvent à se punir pour ses moindres erreurs qui n’arrivent que rarement au final. Si quelqu’un proclame qu’elle a fait une erreur, à moins que ce soit une personne qu’elle considère comme allié et supérieur, cette personne peut aller en Enfer et elle l’ignorera tout simplement en se disant qu’il divague. Posée, elle marche comme si tout autour d’elle n’était que du vent et prend le temps de poser chaque pied sur le sol sans se presser. Elle n’aime pas courir contre la montre et préfère de loin prendre son temps plutôt que de se presser et d’ainsi stresser. Possédant une nature compréhensive malgré son silence, Staedtler n’est toutefois pas une oreille pour tout le monde. Certaines personnes auront le mérite de l’écouter, et d’entendre ses conseils, mais ces personnes sont dites rares. Très rares. Elles peuvent se compter chanceuses diraient-on. Elle n’est pas la plus grande conseillère et est souvent porter à suggérer la solution la plus cruelle pour une personne désireuse de faire un mauvais coup sur quelqu’un. Autrement, Staedtler est quelqu’un de cruelle, avec un penchant pour la vision rougeâtre du sang, et sadique, mais toutefois, elle est ce qu’on pourrait qualifier de « sadique silencieuse ». Elle ne démontre pas son plaisir du sang, elle ne laisse pas paraitre un sourire pour laisser voir son contentement, jamais. Ou rares sont les fois où c’est arrivé. Blesser les autres de ses simples mots, est son passe-temps favoris, étant donné que la plupart de ses techniques sont activés verbalement. Sérieuse et réfléchit, Staedtler pense avant d’agir. Elle n’aime pas foncer tête baissée dans le danger et préfère analyser la situation avant de faire une quelconque stupidité qui pourrait très certainement lui couper la vie d’une façon tout aussi stupide. Elle ne fait rien d’impossible, et se contente du nécessaire pour ne pas s’épuiser inutilement.

Dans ce petit corps se cache un potentiel et une puissance énorme. Staedtler est quelqu’un de logique et sérieuse, elle songea elle-même à ses propres techniques qu’elle créa avec sa force mentale pour finalement les imprégner physiquement dans ses capacités. Sérieuse également dans le sens où, la moindre chose ne la fait pas rire, même pas glousser. Elle reste sérieuse et concentrée, et d’ailleurs elle déteste le dérangement. Une personne qui la harcèle risque de rapidement comprendre de dégager au risque de voir combien ça peut faire mal, la curiosité. Sa différence lui attire souvent des questions mais Staedtler n’étant pas clémente avec ceux qui la harcèlent, c’est dommage pour eux, mais ils s’en prendront bêtement plein la tête par leurs stupidités. Elle n’aime pas spécialement les enfants qui tournent en rond en rigolant, courant derrière une balle ou se lançant de la neige en hiver, peu importe. Elle n’y porte que rarement son attention mais ce genre de vision la rend souvent nostalgique et Staedtler déteste particulièrement cette émotion traître ; la nostalgie. Elle refuse de revivre son passé et de regretter. Elle évite ainsi toute situation propice de lui rappeler sa vie de jadis et tente le plus possible de l’oublier. La jeune fille est du type à ne jamais parler de son passé, même si on lui demande. C’est bien la seule question à laquelle elle laisse un vent terrible à la personne qui lui a posé, même si elle a confiance en elle. Parlant de confiance, Staedtler ne la donne que très difficilement. La demoiselle n’a jamais eu de véritables amies et ne connait pas exactement le véritable sens du mot confiance. Elle cherche pourtant et trouvera peut-être un jour ce que ça peut bien vouloir signifier. Non pas qu’elle n’aille jamais voulu se lier d’amitié, mais elle était du type à ne pas aimer être en groupe, et donc évitait le plus possible d’aller dans des lieux comme des écoles ou des endroits très fréquentés. Elle aimait surtout passer du temps dans sa petite maison de Kyôto à regarder les autres jouer en faisant semblant de les envier, même si ce n’était pas le cas. Étant de nature solitaire, elle n’a jamais vraiment réclamé à avoir des personnes avec elle et encore aujourd’hui, elle ne cherche pas la pitié des autres face à sa solitude. Elle préfère être seule, et comme elle le dit, c’était son choix.

Steatdler n’est pas sans-cœur, il ne faut surtout pas le penser. Disons plutôt qu’elle les cache depuis longtemps car elle croit que c’est mieux pour elle, elle ne risque pas ainsi de se retrouver en danger à cause de ses sentiments. Elle fait extrêmement attention de ce coté et beaucoup de personnes pensent que son cœur est tout simplement gelé. Il est présent, simplement il a de la difficulté à battre normalement depuis que la solitude l’a encerclé. Steatdler ne le ressent pas et passe outre. Elle agit comme elle doit agir et ça fini là, point final. Par contre, elle est capable d’être amie avec une personne, et recherche justement une seule et unique personne, la seule qui pourra être considéré comme importante pour elle. Steatdler ne veut porter qu’une personne en son cœur. Il n’est probablement pas assez grand pour en porter plusieurs, en termes d’amitié. Elle veut un seul ami. Que ce soit un ami ou un certain amour, un seul suffira. Ensuite, il aura encré sa place, et elle ne compte pas aisément le laisser en sortir. C’est son point de vu. Maintenant, cette donzelle est spéciale. Elle est très rêveuse. Steatdler étant créative, elle aime beaucoup se créer un monde bien à elle dans ses rêveries lorsqu’elle ne fait rien. Ça ne parait peut-être pas mais il y a des choses qu’elle aime. S’imaginer un monde rien qu’à elle est un de ses nombreux passe-temps. Peut-être que ce monde est sombre, mais sans doute n’est-il que la représentation de ses pensées, de l’état de son esprit. Un monde rougeâtre en permanence avec une sorte de coucher de soleil qui ne s’estompe jamais. On ne sait pas si c’est le coucher, ou le lever du jour. Ce qui apporte une sorte de confusion. Malgré ces visions, Steatdler est une personne douce en permanence. Elle ne fait du mal que si elle doit le faire, malgré sa cruauté silencieuse. Elle n’est pas spécifiquement gentille, mais elle inspire une douceur inquiétante si on peut dire. Un mystère l’entoure en permanence et il est difficile de savoir si elle vous regarde avec douceur ou avec froideur. Il faut être fin observateur pour le savoir et bien analyser ses mouvements, car il n’est pas facile de deviner les moindres pensées de Steatdler. Elle est compliquée, et ce n’est pas nouveau.

Malgré la présence d’un quelconque cœur dans ce tourment de ténèbres et de rage enfouie, Steatdler n’a pas pitié des autres. Elle reste neutre devant la tristesse et la peine d’autrui, même des individus qu’elle connait. Elle est cependant encore capable de verser des larmes, même si elles sont très rares. Steatdler supporte la douleur émotionnelle comme la douleur physique, très facilement. Mais étant encore jeune, il n’est pas stupéfiant de la voir verser une larme qui est venue toute seule sous l’effet de la douleur trop pesante. Steatdler est cependant capable d’être très froide envers une quelconque personne. Lorsqu’elle aura trouvé cette personne qu’elle recherche tant, elle s’est juré de la protéger contre tout et n’importe quoi, peu importe le traitement qu’elle recevra. Autrement, Steatdler aime beaucoup les papillons. Spécialement les papillons rouges. Étrangement, ils ont une sorte d’attraction envers elle également, puisqu’elle ne fait que tendre son index qu’un de ses insectes magnifiques vient de poser dessus dans une élégance envoûtante. Elle les trouve fascinant et les adore, au point où d’ailleurs, chez elle, se trouve ce qui semble être une énorme cage vitrée avec des centaines de ces papillons. La maison est abandonnée mais les papillons y sont toujours, Steatdler y retourne quelques fois pour les admirer de plus près. Sinon, notre chère pignouf aime beaucoup un fruit en particulier ; les cerises. Ce sont ses fruits préférés et il est facile de lui faire plaisir en lui offrant ce fruit. Elle ne mangeait quasiment que de ça et lorsqu’elle en a l’occasion, elle ne se fait pas prier pour en manger. Sa mère avait jadis le plus beau cerisier de tout Kyotô et sans doute l’unique, et ses cerises étaient particulièrement exquises et juteuses. Steatdler en garde d’ailleurs toujours le souvenir, à la moindre cerise effleurant ses lèvres rosées, elle revoit encore sa mère entrain de prendre soin de cet arbre que bien des gens admiraient. Car oui Steatdler adorait sa mère. Malheureusement celle-ci est morte. Elle eu de la difficulté à accepter cette nouvelle et sans doute est-ce qui l’a rendu si froide et distante envers les autres, mais qui sait, peut-être que son cœur blessé et son âme endolorie pourront trouver refuge, chaleur, réconfort et paix en une autre personne qu’elle-même ?


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|| Information hiérarchique ||

¤ Ab' : Au dessus du Pandemonuim ou dans son appart'. Tout dépendra de son état de sobriété.
¤ Job : Tenancière du Pandemonium

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¤ Histoire :


Miroir, ô mon beau miroir, dis moi qui est le plus pathétique ! Quelle jolie représentation que je me fais de toi... hum, cette pitoyable loque sans intêret qui s'offre devant mes yeux, me suppliant de le pardonner et de revenir. Qu'attends tu ? Est ce avec l'âge que les remords te prennent la gorge ? Je me contrefous de tes sentiments, tes peines, tes angoisses et tes envies. Crois tu réellement qu'après tant de distance je puisse revenir dans tes bras? Oh non je n'ai pas de rancune, je suis juste exaspérée de voir le même comportement se répéter chaque jour devant mes yeux. Et cette gueule de chien battu, si tu savais comme elle m'insupporte ! Oh je deviens vulgaire, quel dommage ! Mais mes vérités sortent de ma bouche comme les mensonges sortent de la tienne. Garde donc ta pitié, ton argent et tes ressentiments! Elle n'est bonne qu'à offrir aux chiens galeux de ton espèce. Retourne dans ton paysage utopique où ne règne que mensonge, alcool, drogue et dépravation ! Finis ta vie comme tu l'as commencé, seule, crade et en hurlante ! C'est du haut de mon autel que je t'observerais me supplier et regretter tes actes, manqués justement, jusqu'à ce que je te crache au visage. Je ne te dois rien ! Et tu ne me dois rien ! Je ne te demande rien justement. Je te tournerais continuellement le dos, indifférente pour te blesser au plus profond, et j'afficherais ce regard impitoyable que j'aime tant arborer en ta présence...

Steatdler est née au Japon, elle y passe ce que l'on peut appeler une enfance comblée et heureuse durant les six premières années de sa vie malgré la mort de sa mère assez brutale. Sa maison ressemble plus à un palais qu'a un habitacle ordinaire même pour les personnes aisées. Bien qu'elle fut encore une enfant en bas âge à l'époque et qu'elle ne garde que peu de souvenir de sa ville natale, elle sait néanmoins qu'elle sortait de chez elle la première occasion pour aller courir derrière les célèbres cervidés de la ville. Bientôt pour une raison quelconque, son père lui annonça alors qu'elle n'avait que six ans qu'ils allaient partir, emménager ailleurs. Et cet ailleurs se trouva être Wakayama où ils vécurent tout trois (ne pas oublié le "tuteur" Mihael von Branderberg) pendant trois ans. La jeune fille n'allait pas en cour, elle suivait des cours particuliers chez elle, elle ne sortit que rarement durant cette période. C'est pourtant a ce moment qu'elle commença a prendre des cours de chant et de musique, de violon...Ainsi donc quand elle eut neuf ans, elle quitta sa deuxième demeure et partit pour Nikkô. C'est là bas que mourut son père la laissant désormais seul avec son désormais officiel tuteur, cet homme aux origines germaniques qui avait toujours vécu avec eux aussi loin qu'elle puisse s'en souvenir. Elle n'alla pas non plus à l'école durant ces quatre années passées dans la ville de neige, ou son caractère changea littéralement. Elle y apprit aussi la peinture bien qu'elle fut déjà maîtresse dans ce domaine. A douze ans elle entra dans une école d'arts. Seulement un an plus tard elle quittait la ville pour se rapprocher encore de Kyôto en allant s'installer a Uji. Elle retrouva une école d'art sans problème majeur, cette école d'ailleurs permettait à ses élèves d'étudier les matières normales en plus de l'art, n'ayant de ce fait plus besoins d'avoir deux écoles et de se déplacer sans cesse de l'une a l'autre. Trop préoccupée donc par ses cours qui lui prenaient la majeure partie de son temps, du moins c’est ce qu’elle prétendait, elle ne sortait plus et commença a se refermer encore plus sur elle même qu'auparavant, après la mort successive de ses deux parents. Lorsqu'elle eut quinze ans, elle abandonna subitement ses cours de littérature et de chants, elle avait également arrêté auparavant les cours de dessin. Elle continua tout de même de pratiquer ses disciplines durant son temps libre en guise de loisir. Son tuteur s'inquiéta de se changement subit mais sa protégée lui assura que ce n'était qu'une question de manque de temps, et d'ennuie de suivre des cours où elle savait déjà tout ou presque. Il attribuât donc cela a un changement qui s'opère a l'adolescence, espérant même que grâce a ce nouveau temps libre qu'elle ressortirais comme avant et reprendrais une vie sociale a peu près normale sans être enfermé sans cesse a la bibliothèque de la maison ou dans sa chambre...Ce ne fut hélas qu'un beau rêve qu'avait fait le "vieil" homme car elle ne sortait pas plus qu'avant. A seize ans, en lisant un article il ne savait trop où elle avait émis le souhait de se rendre a Kyôto, argumentant que jusqu'a présent elle l'avait lui et son père précédemment suivi partout dans leur déménagements incessants sans broncher et que pour une fois c'était elle qui voulais changer d'air. Il en fut des plus surpris car la jeune fille disait ne plus vouloir quitter cette ville et avec sa fameuse salle du Phoenix ou alors les quelques promenades en solitaire avec son matériel de dessin sur le pont Ujibashi... La jeune fille utilisa un ultime argument pour vaincre le germanophone: Elle lui dit que ce serais l'occasion pour elle de prendre son nouveau départ et qu'elle avait même déjà trouvé sa future école, un pensionnat. Trouvant tout de même cela étrange il fit au préalable quelques recherches sur le site et ne trouva que cet établissement ouvrait ses portes a différentes section. Et d'après ses contact dans la ville de Kyôto, on lui disait la même chose mais que ce n'était nullement dangereux mais il restait retissant...Cela ne découragea nullement Steatdler qui dit même que justement c'était ça qui était attirant, parce ce que cet établissement ouvrait les portes d'un tout autres univers!

Une nouvelle période dorée parut sur le point de commencer pour elle. Elle avait simplement oublié une chose : là où elle allait, elle n’était plus la vedette. Elle devenait une élève comme les autres, ce qu’elle n’avait... jamais été, selon ses souvenirs. Dès les premières incartades, elle fut rappelée à l’ordre, puis convoquée, sanctionnée, manqua de peu le renvoi à plusieurs reprises ; tant et si bien que sa nature fut rapidement bridée. Comme une fleur privée de soleil, Steatdler se flétrit peu à peu, devenant une jeune fille sombre et dépressive. Elle n’était encore qu’en première année de lycée, et les trois ans qu’il devait durer lui paraissaient une éternité. C’est cependant vers la fin de sa deuxième année, alors qu’elle venait d’avoir seize ans, que Steatdler fit une rencontre qui changea sa vie. Une jeune femme excentrique de dix-neuf ans, récemment entrée à l’université, venait d’emménager à coté de son collège. Elle était souvent dehors, et repéra assez rapidement la petite Steatdler plongée dans sa tristesse ; de jour en jour, elle essaya de la connaitre, de lui remonter le moral par tous les moyens. Au bout de deux mois, la collégienne passait, chaque jour, au moins une demi-heure chez son amie avant de rentrer chez elle. Un mois plus tard, elle ne la quittait pas avant d’être restée à ses cotés au moins une heure. Et il suffit alors de deux semaines pour qu’elles deviennent un couple. Mais la différence d’âge entre elles, primordiale à cette période de la vie, les rendait trop contraires. Pour Steatdler, ce premier grand amour durerait à jamais ; mais pour son amante, c’était une passade, plutôt intéressante vu la fraicheur de la jeune fille. Elle ne comprit pas vraiment la déchirure qu’elle créa dans le cœur encore novice de Steatdler en la quittant, un mois avant ses dix-sept ans. La jeune fille comprit alors qu’elle ne devrait plus jamais s’attacher à ce point à quelqu’un sans prendre d’infinies précautions, afin d’être sûre que ses sentiments soient réciproques. A ce jour, elle n’a toujours pas voulu risquer de s’engager à nouveau dans une relation amoureuse. Elle finit le collège en étant devenue un peu plus forte grâce à cette expérience, puis, intégra Seinagi, s'installant au passage seule dans un appartement en ville, puisque la maison familiale était trop éloignée de l'école. Ses relations aux autres restèrent particulières : non seulement, durant sa première année, elle rejetta toutes les demandes de ses aînées de devenir leur soeur, attirées par son caractère jovial revenu ; mais en deuxième et elle ne pris pas d’élèves de première elle-même. Steatdler n’étant pas stupide, elle se rendait compte que dans cette école, les gens partageaient un lien bien plus fort que l’amitié, quels que furent leurs liens auparavant.

Ayant son diplôme en poche, il ne lui rester plus qu'à vivre sa vie. Mais quelle vie? Elle ne le savait pas encore mais quelque chose allait boulverser son existance et à vrai dire, elle en avait plus qu’assez de passer ses journées assis sur une chaise, prenant des notes à propos de choses qui ne l’intéressaient pas, étudiant la glorieuse biographie du chef et autres choses bien inutiles à son goût. Ce qui l’intéressait, c’était de gagner sa vie, pas de gagner en culture. Mais une fois sortie de l’école, elle éprouva des difficultés à trouver un travail. Commerçant ? Non, elle n’avait pas envie d’écouter la vieille du coin de la rue raconter ses potins en achetant sa pâtée pour chat. Ingénieuse, médecin ? Trop compliqué. Soldat ? Pas son truc, l’armée et ce genre de choses. Gagner sa vie en prenant la vie. Etrange.

Si elle voulait obtenir rapidement de quoi vivre, il ne lui restait plus qu’à se prostituer, mais cela ne lui effleura même pas l’esprit. Oh, bien sûr, elle savait que cela existait, mais penser qu’elle ferait ce genre de choses était, pour elle, signe qu’il fallait rapidement consulter un psychologue. Elle rongeait son frein chez elle, quand un ami lui demanda de l’aide : chercher des informations sur certaines personnes. « Je sais que tu n’as pas encore de métier, et je n’ai pas le temps de m’en occuper moi-même : à l’armée, j’ai trop à faire. Evidemment, tu seras payé. Suivant les résultats. »

La réponse s’imposait. Elle n’avait pas du tout envisagé de devenir informatrice. Néanmoins, cela ne devait pas être bien compliqué. En contactant les bonnes personnes et en restant discrète, elle pourrait obtenir rapidement ce qu’elle cherchait. Et c’est ce qu’elle fit. Elle découvrit que ces personnes étaient en effet des membres d’une organisation, et les livra à son ami. On ne lui dit jamais ce que devinrent ces personnes, mais elle se doutait qu’elles furent sinon tuées, au moins emprisonnées.

Savoir qu’elle était responsable de la possible mort d’une demi-douzaine de personne lui fit un drôle d’effet. Elle faisait ce pourquoi elle avait refusé de devenir soldat. Fallait-il vraiment tuer pour que le chef ait un pouvoir démesuré ? Steatdler se posait des questions. Elle avait continué de chercher des renseignements pour son ami. Dans la mesure du possible, elle les déformait, quand elle pouvait éviter des assassinats. Elle finit par trouver un membre des F.R.D., dont elle ne connaissait alors rien. En discutant, elle s’aperçut que les idées de ce clan rejoignaient les siennes. La jeune femme chercha le plus de renseignements qu’elle pût sur ce groupe des personnes, et ne trouva rien. Cela la rassura. Ces gens n’étaient pas n’importe qui, et elle se décida à les rejoindre quelques temps..

En guise de récompense pour ses multiples actions, elle reçu une somme colossale afin de faire vœux de silence. Ce qu’elle fit très bien d’ailleurs. Mais que faire de cet argent ? Le dépenser comme toutes ces fashion victimes ? Le planqué dans un lieu paumé ou personne penserai le trouvé ? Naaan… Elle était trop maligne pour ça : elle savait que ces deux options n’étaient pas des meilleurs effets et pourquoi pas blanchir cet argent ? Tient un bar.. En voilà une bonne idée : servir quelques boissons ne devait pas bien être difficile et puis, elle connaissait déjà bien l’ambiance de ces lieux. Elle y avait travaillé à de nombreuses reprises pour ses collectes d’infos. Et puis là au moins, elle était sûre de ne pas tombé sur des petite vieille racontant sa misérable existence sur cette Terre ingrate. C’est ainsi qu’après quelques travaux et pubs, le Pandémonium ouvrit ses portes. Tous à vos verres, Steatdler est là pour vous servir !! =D


¤ Code ::Un code? Quel code? J'm'en rappelle pas qu'il y en avait moi.. A moins que tu parle de mon "code-bar"? C'est : Code ok by Tsu'Ouaii ouaii c'est ça.. Zarb ne?