Eternal-Fuuka
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 Et finalement, Tom attrapa Jerry.

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ren
♠ Junkie Punkie Dandii ♠
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ren


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Et finalement, Tom attrapa Jerry. Empty
MessageSujet: Et finalement, Tom attrapa Jerry.   Et finalement, Tom attrapa Jerry. EmptyMer 21 Mai - 19:21


Qui êtes vous?



 Généralités


♠ Prénom : Ryohei
♠ Nom : Kato
♠ Surnom :  Ryo
♠ Age : 29 ans
♠ Orientation Sexuelle : /
♠ Métier :   Inspecteur
♠ Groupe : Citoyen


Personnalité


Au travail, il ne pardonne pas et se veut aussi droit que pragmatique, sinon maniaque. Son obsession revient à trouver des résultats quelle que soit sa forme, et n'admet en aucun cas de vivre une journée sans rien avoir dans les mains. Achever une mission le plus proprement possible s'avère efficacement soulageant, aucun détail ne doit être laissé au hasard, ne voyant d'ailleurs aucun intérêt à travailler sans approfondir ses recherches. A quoi bon l'acédie quand chaque individu évolue dans une sphère capitaliste, stricte et protectrice. Il attend donc des résultats, de la part de ses collègues comme de lui-même, et n'accepte pas l'échec pour peu que ça lui arrive maintenant. Auparavant la négligence était son domaine, préjudice pour le moins condamnable pour un agent, même sous tutelle. Ce qu'on allie à l'intransigeance se voit être les principes à suivre, et il est coutume chez Ryohei de se cramponner à une multitude de principes, dédaignant le caractère léger de l'insouciance d'autrui, quand bien même il en paraît moins lourd et prisonnier d'idées préconçues comme de normes à respecter.

Autant physiquement que mentalement, c'est un homme qui n'apprécie pas spécialement qu'on le prenne pour un con. Plus encore, rien ne peut le corrompre. Plus sévère envers lui-même qu'avec ses camarades, il pourrait entraîner tout un régiment à devenir comme lui, à les rendre droits et secs, froids et insensibles. Le mépris se lit facilement dans leurs yeux et n'en parait que plus arrogant. Il a cette lueur de dédain illuminant ses prunelles et pourtant.. pourtant, c'est, au fin fond de lui, un homme chaleureux qui ne tend qu'à vouloir la vérité. Elle et elle seule. Que peut-il vouloir chercher d'autre, sinon les preuves : seuls les faits comptent. L'argent, le pouvoir.. qu'en faire ? Sa fierté lui sert de prétexte et d'appui pour cultiver son aspect implacable. La justice. Point.

Bien qu'il paraisse froid de prime abord, d'apparence calme et semblable à celle d'une eau dormante, se cache au plus profond de lui une colère sourde et noire qui, par le plus malheureux des hasards, peut surgir d'un instant à l'autre et consumer dans un bien bref délai l'esprit de Ryohei. En plus de ne guère supporter l'injustice, une lave en fusion lui monte à la tête lorsqu'on l'incrimine à tort ou à travers, ou bien lorsque l'audace prend celui de l'aiguillonner indûment. Aussi, une femme aura le don irritant de le sortir de ses gonds même si la violence cette fois-ci se voit fermement scellée pour des raisons de tenue, de bienséance.. et de respect. En revanche, il lui arrive de mettre de coté ses principes, sa loyauté, sa raison pour cogner le premier énergumène susceptible de l'insulter à plusieurs reprises. Il n'est pas non plus exempté de tuer un violeur et de masquer les preuves, lui, prônant la droiture. Possédé par deux traits de caractère complètement opposés, il est souvent obligé de ravaler sa salive ou de ronger ses freins pour éviter de vivre sur des impulsions/par omission. La perte de son travail, pour ne citer que cet exemple, lui serait fatal.


Apparence

De loin, il est homme à en faire frémir plus d'un. Sa taille haute lui confère une aura ténébreuse qu'on ne daigne pas approcher. Une impression naît des entrailles de l'individu qui s'intéresse à sa silhouette effilée, mais loin d'être rachitique. De loin, il n'est certainement pas beau, ni attirant, peut-être moins musclé qu'il ne l'est, amenuisant son enveloppe corporelle au point de n'esquisser que les contours durs de son corps. Tout est ténébreux, avec une petite pointe érubescente jalonnant le haut de son épine dorsale. Du reste, il est en possession d'atours sombres et sa dégaine ne vaut pas celle d'un charmant gentleman de la Haute par exemple. Bien au contraire, on pourrait l'affubler de voyou que rien ne le détacherait de cette vérité illusoire. N'oublions pas non plus cette fâcheuse manie de porter sa belle veste de jais à la texture soyeuse, les manches affreusement vides et délaissées tandis que les légères épaulettes recouvrèrent gauchement son épaule. Non.. de loin, il n'a rien de plaisant, sinon qu'il incarne la nonchalance même tout en proie à la perdition.
C'est alors que l'individu, toi en l'occurrence, t'apprête à t'avancer afin d'assouvir ta soif de curiosité. 

Tes pas t'amènent à apercevoir quelques détails, à lire enfin les traits de son visage, à définir la teinte colorant son regard. Et le démon dont la taille semble encore plus impressionnante, tourne la tête avec l'expression non neutre d'avoir été dérangé. Ton premier regard ne se détourne point de celui de ton vis à vis. Ces prunelles ne brillent d'aucune bonté sinon d'un mépris caressant l'échine du petit curieux que tu es. Non.. Le concerné, toi, ne ressent aucune peur à l'égard de cet individu, Ryohei n'a aucune raison d'attiser l'effroi. Mais il n'est pas dit que ses iris d'un rouge sombre ne vienne pas déclencher des frissons pour la simple et bonne raison qu'il est aussi rare qu'étrange de tomber sur une couleur aussi sombre que celle appartenant au grand garçon. Rouge.. Sang. Aussi muet qu'une tombe, il dirige ses yeux carmins sur toi et t'examine. Il a l'art et la manière de te dévorer du regard avant de voir à travers toi, sans un battement de cils pour rompre ou alléger l'échange. Et puis, le second détail le plus à même de t'intéresser sera la marque sur sa joue. Elle paraît telle une cicatrice d'assez grande envergure, mais il s'agit d'une brûlure de troisième degré au vu du teint brun qu'elle arbore. Comme un éclair zébrant sa peau ou la tiraillant, qu'en sais-tu, elle réveille au plus profond de toi ta curiosité malsaine, appétence à laquelle l'individu met fin très vite lorsqu'il ne daigne te montrer plus que son profil. Des cheveux noirs se sont dressés sur son visage pour le lui barrer comme des rideaux qui tombent pour mieux le dissimuler, ou cacher la maladresse de son expression tiraillée. On lui trouve un nez droit, un peu aquilin mais il n'est en aucun cas imposant. La bouche au contraire parée de lèvres charnues prennent beaucoup plus d'importance, d'une pour la moue boudeuse qu'elles affichent honteusement, livrant volontiers la vie du garçon. Il ne semble pas aimer la vie. Il ..la boude. Et de deux, pour ce léger pli amer renforçant l'idée de détermination. En fait, il ne la rejette pas, il la combat. 
Tu t'apercevras ensuite du grain de peau, et de son éclat sombre, basané. Au niveau de la brûlure, difficile d'admettre que la tâche soit douce, et une fois encore pour aiguiser ton appétit, tu aimerais toucher ne serait-ce que pour goûter des doigts la texture rêche et vide de sensations finalement. Et alors vient l'épiderme vivante, chaude et douce. Hé oui, cet homme est un bébé. On y croit pas.

Les mèches d'ébènes ne touchent pas ses épaules larges, où repose aujourd'hui cette veste noire négligemment accostée par son hôte. Son corps, grand, se voit recouvert d'une simple chemise de travail, immaculée où trône au milieu une cravate simpliste. Au col, on s'aperçoit, parmi les détails, que deux paires de plumes apparaissent à la base de sa nuque pour mourir au niveau des clavicules. Elles semblent longer ses cheveux, comme dans un concours de longueur. En gros, on se demande pourquoi elles sont là. Peut-être que cet homme daignera te l'expliquer un jour. Toujours est-il que la couleur rouge de ces plumes était ce qui dénotait de son apparence black & white. 
T'as peine à vouloir descendre ton regard pour tomber sur des cuisses que le jean noir moule dans cette position. En fait, ça ne te regarde pas plus que ça, et s'intéresser aux pieds pourrait s'avérerait fatal et mal interprété par ce loup solitaire qui en fait, n'est autre qu'un inspecteur.


Histoire

2011 :La cigarette n'a jamais été très bonne pour moi. A mes quatorze ans, je fumais comme un sapeur n'ayant que faire des reproches incessants qu'on me rabâchait à longueur de journée. Bordel mais qu'est-ce que ça peut leur foutre. Sauf qu'à faire le malin continuellement, je me suis retrouvé, vingt six ans à peine, avec des soucis de santé, déjà ! Les effets délétères du tabac n'ont pas traînés. Je subissais ma première défaillance respiratoire, et j'ai pris peur, très vite. On se dit que c'est impossible, mais je n'ai pas cru le médecin lorsqu'il me disait que la fumée avait des répercussions. J'avais trop fumé, afin d'évacuer ce stress, cette sale manie de m'emporter au moindre revers. Il avait même fallu que je me mette à consulter un psychologue pour trouver une nouvelle source intérieure qui évincerait mes accès d'ire. Qu'est-ce que ça peut faire ? J'ai dû quitter mon boulot durant un long mois pour me soigner dans le seul et unique but de ne pas perdre mon travail : ma seule raison de vivre. Bien-sûr, le premier commentaire face à ces répercussions fut «  Vous ne devez plus fumer ou vous pouvez faire une croix sur votre énergie et votre dynamisme. Vous êtes jeune, Ryohei, profitez de la vie au lieu de vous enliser dans la nicotine. » L'air était-il si vicié pour m'empêcher d'exploiter mon vice préféré ? Contraint d'abandonner ce cher cylindre blanc qu'était ma drogue, je dus me mettre un moment au chewing-gum. Et puis, manger. Afin de faire passer le manque, je n'avais d'autre choix que de me lancer dans la cuisine, aussi laborieuse soit-elle, pour faire disparaître ce monstrueux désir empoisonnant mes veines, mes fibres, mon corps tout entier. 

1991: J'étais petit, les cheveux lisses, peigné en coupe au bol. J'avais l'étoffe d'un petit prince et j'en jouais sans aucun scrupule. Il m'était même arrivé de me faire apprécier d'un homme de pouvoir comme ça, en mentant. J'étais doué pour le mensonge mais aussi terrible la faute puisse-t-elle être, je n'avais que six ans, et l'on me reconnaissait comme étant très malin, rusé. Mais loin d'être fourbe et malsain. La raison pour laquelle on me donna le statut d'angelot était parce que j'aidais ou voulais aider mon entourage. Mon grand père partait en mission et revenait une quarantaine de jours plus tard. Il m'expliqua assez tôt la structure des étoiles, et le soir venait nous accueillir à bras ouvert, offrant sa merveilleuse voûte céleste. L'astronomie me fascinait. J'aurai très bien pu devenir pilote d'avion. Pourquoi ne pas l'avoir décidé ainsi dans ce cas ? Mon destin déjà façonné par des mains plus habiles que les miennes me conduisait vers un tout autre avenir, où l'espèce humaine pullulait telle une colonie de fourmis inquisitrices. Les villes, aussi noires de monde, regroupaient le plus de criminels en tout genre, et plus que ça, de cadavres sanguinolents. Pour le bien, la sécurité, le devenir même du pays. Ma famille, saine, m'inculqua ses valeurs et principes. Je les suivrai jusqu'à ce que la mort me sépare du monde des mortels. Prendre mon envol afin de traquer les criminels dans l'espoir, un jour, de débarrasser la vie de sa gangrène. Mon père était mon exemple, je l'aimais et fier de lui, je choisissais cette voie pour le bien de tous. Pour lui.

2003 : Étudier ne fut guère laborieux pour mon cerveau emmagasinant mille et unes données. Le problème étant que je ne supportais pas la mise en vigueur du régime d'aujourd'hui, et encore moins ses suppôts. J'allais bientôt, d'ici deux ans, rentrer dans une autre univers, et jouir de droits et devoirs auquel je donnerai tout. Mon temps le plus précieux jusqu'à ma vie, elle seule. Pour sauver les innocents, j'irai jusqu'à me sacrifier comme on me l'avait appris. En revanche, je n'agissais pas sottement. Jamais l'on m'eut dit que j'étais doué, bien au contraire, je tirai sur une cible comme un manche et mes réflexes n'avaient rien de faramineux. Au contraire des soldats bien formés et surentraînés où la maîtrise du corps faisait envier la plus agile des panthères. Ma force résidait dans l'intelligence, la perspicacité. Mon éloquence valait le respect de tous, mais mes critiques me coûtaient tout autant ce respect. Je ne supportais pas que l'on contourne les règles, que l'on brise des lois en pissant dessus parce que ça paraissait plus simple. Et loin devant tout ça, j'abhorrais la traîtrise. De là, il m'était difficile d'avoir confiance en mes futurs coéquipiers, mais je dus m'y faire pour le bien de tous. Je sus donner foi en l'évolution qui m'arracherait à ma gaucherie pour m'offrir la réputation que j'attendais. J'étais déjà avide à cet âge pour des raisons au demeurant inconnues et qui, encore et toujours, seront préservées des âmes corrompues.

2011 : Je mutai pour me retrouver à Okasaki. Le passé restera le passé, indéniablement sombre et souffreteux d'avides vengeances. Servir sous la tutelle de l'Inspecteur en chef ne fut point aisé mais en revanche j'appris moult combines. Je sus bâtir des stratégies sans me retrouver dans les fils du péché, et résoudre bon nombres d'énigmes comme élucider les homicides avec ou sans préméditation. Bordel, vous n'imaginez pas ce qu'on peut voir de nos jours. Comment ressentir une once d'espoir derrière le rideau, lorsqu'on se retrouve enfin dans l'envers du décor. On m'eut à plusieurs reprises notifié les quelques attentats et c'est avec une légère sueur froide, encore, que j'attendais les détails des affaires en cours. Mais jamais je n'eus cherché à me dégonfler, ni à me ranger du côté des ripoux. 

Un mois plus tôt, je dus faire mes preuves lorsqu'un agent me bouscula. Dans la rue, après avoir arrêté trois dealers enfoncés dans leur sofa avec une jeune femme sous le bras, l'air sauvage. La voiture m'attendit et l'on scanda « Jamais tu fonceras dans le mur Ryohei, jamais ! T'es trop lâche. Tout ce que tu veux, c'est du galon, du galon.. ! Un crevard, qui s'en tape du reste. » Des paroles à ne jamais prononcer en ma présence. Pourquoi se contenir après avoir subi d'innombrables blâmes parce que je n'étais pas aussi doué qu'eux. Qu'il m'avait durement fallu travailler nuit et jour, passer des jours entiers dans la salle de tir dans l'espoir, un jour, de ressembler à ces inspecteurs qu'on aperçoit à la télé. Mes faiblesses firent ma force, ce jour là. Ainsi que ma perte. Mon seul contrôle fut celui de la colère, mué par cette main ardente qui me poussa vers l'impudent n'ayant d'égal que la fatuité. J'abattis mon poing sur lui, quand d'autres mains vinrent m'emprisonner tel un étau afin d'empêcher l'explosion en chaîne. J'allais lui montrer, moi, qui j'étais. Les fibres de mon être me résonnaient la mélopée de la fierté, et je courrai vers ce qu'on appelle une voiture privée de service. Une affaire sur laquelle je n'avais aucun droit, aucun devoir traînait, faute de preuves. Sur le lieu du crime, je guidais mes pensées tout en sachant que le danger guettait, plus que la chance. Et comme pour confirmer mes doutes, une heure plus tard, je me retrouvai dans leurs filets. Qui furent-ils, je ne saurai le dire. Tous anonymes, mon instinct me dicta d'accuser les prochains coups pour découvrir la vérité. L'affaire 'étoile noire' regorgeait de mystère, et à la tête de ce groupe de terroristes, se trouvait l'un des agents du NSS. Un sourire vipérin s'effila sur mes lèvres quand soudain je me retrouvai sur une chaise aussi dure que la roche, froide comme la glace. La torture.. Si je clamsais pas après ça, on me jetait dans l'eau avec aux pieds un boulet.

Ils en profitèrent pour me délier la langue afin d'arracher quelques noms. Ceux de la liste noire, mais aussi d'agents qu'on aime à appeler « éléments musclés ». C'est avec surprise qu'ils se rendirent compte que je ne crachai aucun mot, même lorsqu'on m'enfonça le fer rouge dans ma joue.
N'obéissant plus à ma volonté, je m'abandonnai dans les limbes de mon passé, dans la vision de mon Père qui, de par ses mots, avait réussi à loger en moi une fringance nerveuse, un retour à la lumière où la flamme vacillante devient plus éblouissante que jamais. Alors que mes cotes subirent leur dernier assaut où ma peau rougissait et se ternissait ensuite, un heureux hasard voulut que j'entende la vérité. Le nom de l'agent félon et celui de l'un des dirigeants du groupe terroriste. Suite à quoi, je fus débarrassé pour être jeté dans l'eau. Mais le boulet de canon ne fut que cadeau au lieu de fardeau. Avec une nouvelle vigueur jaillissant de nulle part, je m'en servis pour la faire rouler autour de moi dans l'optique de les faire basculer. Seulement deux pions de l'échec pour définitivement m'éliminer, comme c'était déshonorant. A me sous-estimer, je réussis à enfouir en moi les plus vils fantômes de ce que j'appelais ma pire journée pour prendre la fuite le plus discrètement possible. Et de conduire ces terroristes en enfer.

2014 : Inspecteur, je m'employais à surveiller mes employés et à rendre visite aux suspects le plus librement possible. Et je m'arrangeais avec mes supérieurs pour les défendre du mieux que je pouvais. Mes subordonnés me détestaient pour ma détermination, mon intégrité. Ma fidélité. J'avais avec un homologue une discussion portant sur cette soif de pouvoir et de justice. Seule une réponse quitta le seuil de mes lèvres où je pouvais, enfin, me délivrer fièrement de ce secret. Il était question.. de faire « honneur à mon père », mort à mes dix huit ans lors d'une mission. Suite à quoi, une nouvelle interrogation turlupina mon camarade. Ma solitude, pourquoi étais-je seul. Les mariages arrangés n'avaient que peu d'intérêt pour ma personne. J'ai apprivoisé mes démons, cherché à omettre les maux du passé pour me concentrer uniquement sur le présent. Rien qu'une impression, mais les gens sont cachottiers, j'ai peur cette fois de perdre ma volonté de fer si je continue mon aventure dans ce bas monde. Mais, je demeurerai vôtre, pour un temps incertain.

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MessageSujet: Re: Et finalement, Tom attrapa Jerry.   Et finalement, Tom attrapa Jerry. EmptyVen 13 Juin - 17:57

Et finalement, Tom attrapa Jerry. 814341Xanxus2 Et finalement, Tom attrapa Jerry. Tyl_xanxus Et finalement, Tom attrapa Jerry. 405751ryoooo

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